

Toutes les drogues sont nécessaires pour que les gens oublient les blessures du passé. En amont de la visite d’Etat d’Emmanuel Macron à Washington, du 30 novembre au 2 décembre, deuxième visite du président depuis son élection, l’Élysée a pris soin de “privilège unique” ainsi fut-il donné à la France. “Marquer, Nous vous assurons autour du chef de l’Etatl’excellence des relations franco-américaines”. Au nom de l’Amérique, nous sommes reconnaissants “longévité, longévité” et “sagesse”, du chef de la France. Tu devrais faire demi-tour Page affaire sous-marins franco-australiens, contrat de vente 2021 rompu par l’alliance de l’Australie, des États-Unis et du Royaume-Uni (Aukus), au début d’une crise diplomatique majeure entre les deux pays. Il s’agit aussi d’enlever les excès et le visage de Donald Trump.
Dans “confiance” (décidé “frère” et “romantique”) montré en 2018 entre l’ancien président républicain et le chef de l’Etat, surnommé “Petit Emmanuel” par son homologue américain, qui s’était indignée du retrait de Washington de l’accord de Paris contre le réchauffement climatique, de la taxe française sur le vin ou du retrait unilatéral de la Communauté des États indépendants. Les États de cet accord doivent empêcher l’Iran d’acquérir des armes nucléaires.
Sur le fond comme sur la forme, le réchauffement des relations franco-américaines s’illustrera notamment par un dîner privé que le président Joe Biden et son épouse Jill offriront au chef de l’Etat et à son épouse Brigitte le mercredi 30 novembre. , dans un restaurant italien de Washington. “Le moment proche du président” au cours de laquelle les deux dirigeants échangeront leurs points de vue “dans un cadre très informel, très sincère et très amical de leurs relations”Elisey assure.
L’occasion, peut-être, aussi de régler les sujets de préoccupation. Allié, je ne veux pas dire “adapter”nous sommes à Paris, où nous revendiquons, dans le cadre de la guerre en Ukraine, un « Dialogue politique » et “parfois plus difficile dans certaines matières”.
Eviter les tensions avec Moscou
Aux côtés d’un groupe de ministres dont Bruno Le Maire (économie), Sébastien Lecornu (armée), Catherine Colonna (affaires étrangères), Sylvie Reteillo (enseignement supérieur), ainsi que des hommes d’affaires comme Xavier Niel (actionnaire individuel le monde), le patron de la société Illiad, Bernard Arnault (LVMH) ou Patrick Pouillon (TotalEnergies), le chef de l’Etat espère convaincre le président démocrate que “leadership” L’Amérique n’est pas d’accord avec ça “Partenariat” européen La puissance américaine ne doit pas reposer sur l’affaiblissement de l’Union européenne (UE), insistons-nous à Paris, où nous appelons à la création d’une union. “Forte coopération” malgré le rapport de force disproportionné.
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